‘Initiatives à saluer’


Honda Ev-neo : un scooter électrique pratique et écolo chez Honda

Le constructeur japonais d’automobiles et de deux roues Honda est bel et bien lancé dans la promotion des deux roues écolo en ce troisième millénaire. Après la moto verte Honda CG 150 Titan Mix lancé au Brésil en 2009, la firme Honda se penche actuellement sur la motorisation électrique et créée le scooter Honda Ev-neo.

Honda Ev-neo : le résultat d’une collaboration entre Honda et Toshiba

La création de nouveaux modèles de deux roues plus respectueux de l’environnement devient en ce moment une priorité pour le constructeur automobile japonais Honda. Après la présentation d’une deux roues écolo fonctionnant avec un système de motorisation polycarburant, la firme se concentre sur les scooters et promeut la motorisation à l’électricité. Le 13 avril 2010, Honda présente un modèle de moto à motorisation électrique. Baptisée Ev-neo, cette moto émet 0° de CO2 dans l’atmosphère lors de son utilisation.

Le projet deux roues à motorisation électrique a déjà été annoncé chez Honda à la moitié des années 1980. Aux environs de l’année 2004, la firme présente un prototype de scooter électrique fonctionnant avec des piles combustibles. En cette année 2010, l’ambition de Honda de mettre sur le marché un scooter à motorisation électrique est en phase de devenir une réalité. Totalement écolo, le scooter Ev-neo fonctionne avec une batterie Super Charge ion Battery, mis au point par la firme japonaise Toshiba.

Bientôt un label écologique pour la protection des espaces verts en France

Les villes françaises commencent actuellement à travailler en collaboration pour protéger plus efficacement leurs espaces verts. Pour ce faire, 9 villes françaises ont entamé des démarches pour la création d’un label de gestion écologique des espaces verts d’ici un an.

Label écologique pour les espaces verts : le projet de neuf villes françaises

Malgré les efforts du gouvernement français en faveur de la gestion des espaces verts, les écologistes notent encore un certain laisser-aller. Parmi les problèmes relevés, figurent la protection dérisoire des cours d’eau dans certaines villes, l’utilisation permanente de pesticides, la non-utilisation d’engrais organiques ou encore le non-respect de la faune vivant dans les espaces verts. Si l’on ne tient compte que des problèmes rencontrés par les apiculteurs à cause de l’usage des pesticides ou la prolifération du Vespa Velutina, la gestion des espaces verts ne semble pas encore satisfaisante en France.

Face à cette tendance, les villes françaises ne souhaitent plus se contenter du label EVE d’Ecocert, dont l’attribution est précédée d’un audit contraignant. Partant d’un désir concret d’amélioration, neuf villes françaises, Lille, Marseille, Besançon, Lyon, Rennes, Nantes, Montpellier, Orléans et Paris ont décidé la création commune d’un label de gestion écologique de leurs espaces verts. Les neuf villes à l’origine de cette initiative recevront l’appui d’organismes professionnels tels que la plate-forme de conseils techniques Plante & Cité ou encore l’association des directeurs de jardins et d’espaces verts publics.

Honda CG 150 Titan Mix : premier deux roues motorisé flex fuel

La Honda CG 150 Titan Mix de la firme japonaise Honda Motor Company mérite l’attention des passionnés de deux roues et des écologistes. En effet, la Honda CG 150 Titan Mix fait rimer puissance et protection de l’environnement grâce à une motorisation bi-combustible flex fuel.

Honda CG 150 Titan Mix : une moto écologique

La protection de l’environnement et la lutte contre le réchauffement climatique est l’affaire de tous. C’est pourquoi la firme japonaise Honda continue de se pencher sur la conception de véhicules plus écologiques. Si la plupart des constructeurs automobiles se focalisent sur la fabrication de voitures vertes, Honda fait preuve d’une certaine ouverture d’esprit en essayant de respecter ces normes dans la conception de ses deux roues. La Honda CG 150 Titan Mix est la première moto verte, ouvrant la voie à une nouvelle génération issue de l’initiative louable de la firme Honda.

La moto écolo CG 150 Titan Mix n’est pas à proprement parler un nouveau modèle. En effet, elle existait déjà chez Honda mais dans la version essence. La nouveauté réside dans l’intégration d’une motorisation flex fuel. Autrement dit, la moto peut rouler avec de l’essence, du bioéthanol ou un mélange des ces deux carburants. Pour rendre effective la mise en place d’une telle motorisation, le monocylindre de 150 cc de Honda a subi des modifications au niveau de l’électronique du système d’injection. Ce modèle répond au désir de Honda de limiter l’émission de GES dans l’atmosphère par les deux roues.

La société British American Tobacco lutte contre la pollution causée par le rejet de mégots de cigarette

Le fabricant de cigarette renouvelle son expérience de distribution de cendriers jetables dans les stations de skis afin de préserver l’environnement. Cette société espère ainsi inciter les fumeurs à avoir de plus en plus, des réflexes citoyens.

Les effets sur la planète des substances chimiques contenues dans un mégot de cigarette

Soulevant le paradoxe entre l’interdiction de fumer dans les lieux publics imposée par la Loi Evin et l’insuffisance de mise à disposition de cendriers extérieurs, la société British American Tobacco (BAT), s’est lancée dans la distribution de cendriers de poche, dans un premier temps sur les plages puis, dans un second temps, dans les stations de ski, afin de réduire la pollution engendrée par le rejet de mégots de cigarettes, essentiellement sous les télé-sièges.

Outre ses effets néfastes sur l’organisme, la cigarette a également des impacts négatifs sur l’environnement. En effet, les nombreuses substances chimiques contenues dans un mégot se propagent dans la terre et les océans, participant ainsi à la détérioration environnementale de notre planète. Malheureusement, en raison d’une prise de conscience insuffisante de cet enjeu écologique, près de quatre milliards de mégots sont jetés dans la nature chaque année.

Des poules pondeuses pour réduire les ordures ménagères en Belgique

Le volume des déchets ménagers n’a jamais cessé d’augmenter dans plusieurs pays d’Europe depuis ces cinq dernières années. Pour y remédier, la cellule environnement de la municipalité de Mouscron, en Belgique, a décidé d’octroyer deux poules pondeuses à tous les habitants de la ville.

Réduire les déchets ménagers par les poules : une idée insolite de la ville de Mouscron

La saturation des décharges et incinérateurs sont actuellement à craindre à cause de l’augmentation vertigineuse des ordures ménagères en Europe. La difficulté du tri des ordures ménagères pose également des problèmes dans la mesure où ceci rend difficile leur recyclage. Pour alléger autant que possible la tâche des responsables du ramassage et du recyclage des ordures, la cellule environnement de la municipalité de Mouscron, dans l’ouest de la Belgique, a pris la décision de distribuer des poules pondeuses aux habitants de la ville.

Aussi insolite que cela puisse paraître, la ville de Mouscron n’en est pas à sa première expérience concernant ce système de réduction de déchets ménagers. En effet, la distribution de poules pondeuses pour les habitants de la ville a commencé il y a deux ans. En apparence risible, les responsables du programme se sont pourtant réjouis du succès remporté par cette initiative durant les deux premières années d’essai. Les poules mangeront les déchets alimentaires dans les poubelles. Plus encore, les habitants ont la chance de consommer régulièrement des œufs frais grâce aux poules.

Lutte contre le réchauffement climatique : le Danemark tente de relancer les négociations

Nul besoin de le rappeler, la Conférence de Copenhague a accouché d’un accord politique non contraignant. Néanmoins, ¼ des chefs d’Etat présents lors du Sommet sont actuellement décidés à honorer cet accord. Face à un tel message d’espoir, le Premier ministre Danois Rasmussen convie les grands décideurs à se réunir pour de nouvelles négociations sur le climat.

Réchauffement climatique : Les engagements de Copenhague seront-ils respectés ?

La déception est certes évidente quant à l’issue des négociations engagées lors de la Conférence de Copenhague du mois de décembre 2009. Malgré l’optimisme encourageant de Ban Ki-moon avant et pendant la Conférence, le désir des grands décideurs d’assurer leur développement économique respectif a rendu impossible la formulation d’un accord juridiquement contraignant. Pour que le Sommet ne se traduise pas par un échec total, les chefs d’Etat ont toutefois élaboré un accord politique non contraignant. Une lueur d’espoir pour la santé climatique mondiale.

Puisque l’accord politique élaboré à Copenhague est non contraignant, les pays signataires refusant de l’honorer ne seront pas passibles de poursuites judiciaires. Faute d’assise juridique, tout devient une question d’honneur et de bonne volonté. Suivant les négociations de Copenhague, les pays signataires ont été conviés à proposer officiellement leurs objectifs en matière de protection du climat mondial avant le 31 janvier 2010. Afin de ne pas mettre la pression aux chefs d’Etat, les Nations-Unis ont décidé de rendre cette fameuse date butoir flexible.

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L’Etat déboursera 134 millions d’euros pour éliminer les algues vertes

Les algues vertes de Bretagne n’en finissent pas de faire parler d’elles. Depuis la mort d’un cheval et le malaise de son cavalier, des réactions vivent se font entendre. Le ministère de l’agriculture et le secrétaire d’Etat ont présenté un projet contre la propagation de cette algue. Loin de faire l’unanimité, le problème des algues vertes bretonnes est encore loin d’être résolu.

40 millions d’euros pour 2010

Le mercredi 3 février dernier, la secrétaire d’Etat à l’écologie Chantal Jouanno, accompagnée par le ministre de l’agriculture Bruno Le Maire a présenté en conseil des ministres un plan stipulant que 134 millions d’euros seront consacrés par l’Etat français pour éradiquer complètement les algues vertes des côtes bretonnes. Le plan de lutte contre le fléau vert est prévu pour cinq ans, s’étendant de 2010 à 2014. La somme sera utilisée dans le ramassage des algues, leur stockage, leur transformation et la recherche pour une meilleure connaissance du phénomène.

Cette année, 40 millions d’euros sont prévus pour financer le ramassage et le compostage des algues. Un projet de méthanisation pour la production d’engrais et d’énergie est aussi prévu. La secrétaire Chantal Jouanno a aussi précisé que le problème sera traité en amont, les agriculteurs seront donc invités à modifier leurs pratiques agricoles, les stations d’assainissement seront normalisées… Il faut également limiter le taux de nitrate dans les rivières à 10 mg par litre si la norme préconise 50 mg par litre pour la consommation humaine. Un groupement de recherche national sera également créé pour réfléchir aux moyens de valorisation de l’algue verte.

L’extinction des tigres d’Indochine est imminente selon le WWF

Après des études portant sur certaines espèces menacées en Asie et dans le monde, le WWF présente des chiffres alarmants concernant la survie des tigres d’Indochine. Des mesures draconiennes sont à prendre dans les plus brefs délais avant que leur extinction ne devienne effective.

Tigres d’Indochine : la statistique annonce leur extinction progressive

Après des études approfondies menées par le WWF, il est désormais prouvé que le Panthera Tigris Corbetti ou le tigre d’Indochine est une espèce en voie d’extinction. Le mardi, 26 janvier 2010, le World Wide Fund for Nature a présenté des chiffres horrifiants annonçant l’extinction imminente de la population des tigres sauvages de la région Grand Mékong. Si le nombre de tigres de cette région s’élevait à 1.200 individus en 1998, il est actuellement passé à 350. La statistique est tragique dans la mesure où le nombre de tigres à diminué de 70% en l’espace de douze ans.

Les raisons qui causent l’extinction rapide des tigres d’Indochine dans la région Grand Mékong sont nombreuses. La toute première cause est sans nul doute la pratique intensive du braconnage dans des pays comme le Laos, la Thaïlande ou encore la Birmanie. Cette activité est de plus en plus pratiquée puisque la peau de ces animaux rapporte beaucoup sur le marché illicite. Pour preuve, une peau de tigre peut coûter jusqu’à 20.000 dollars US. Le développement de l’agriculture entraînant la dégradation des habitats écologiques adaptés s’aligne également parmi les causes de la diminution des tigres d’Indochine en Asie.

L’horloge de l’apocalypse: quand les scientifiques mesurent l’imminence de la fin du monde par les aiguilles d’une horloge

Le désir de gloire amène constamment les hommes à se détruire et par là même détruire la planète. Face à la réalité de cette folie, les américains ont inventé l’horloge de l’apocalypse dans les années 40. Aujourd’hui, les aiguilles de l’horloge tendent à se rapprocher de minuit, l’heure de la fin des temps.

L’horloge de l’apocalypse : un système de mesure indéniablement … apocalyptique

L’horloge de l’apocalypse est un système de mesure mis au point par les américains en 1947. Située au cœur de l’université de Chicago, cette horloge vise essentiellement à alarmer les hommes sur le pouvoir destructeur de leur volonté de puissance ou de leur volonté de gloire. Au moment de sa création, les aiguilles de la montre indiquaient exactement minuit moins sept. Sachant que l’heure de la fin du monde équivaut à minuit sur l’horloge, l’humanité était déjà à six minutes de l’heure fatidique au milieu du XXe siècle.

L’explosion de bombes nucléaires à Hiroshima et Nagasaki durant la deuxième guerre mondiale ont déjà fait croire à une fin du monde très proche. Les concepteurs de l’horloge cherchaient alors à prévenir l’éclatement d’une troisième guerre mondiale. Depuis sa création, l’horloge a déjà été mise à jour 18 fois. Quand la raison l’emporte sur l’ambition, l’heure est reculée de quelques minutes par les directeurs du Bulletin des scientifiques atomistes de l’université de Chicago. Dans le cas contraire, elle est avancée. L’humanité n’a jamais été plus proche de la fin du monde qu’en 1953, année où les américains et les russes testaient la bombe H.

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